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Tout savoir sur l’île de Shalf

Vous envisagez de vous rendre dans l’île de Shalf ?
Que cela soit volontaire ou pas de votre part, il est important d’en savoir un peu plus sur ce lieu fascinant qui vous accueille.

La forêt millénaire de Gourghes

Laissez-vous happer par la beauté de cette forêt, fierté de l’île de Shalf et classée au patrimoine de l’UNESCOTLETE, avant que ce ne soit les loups qui le fassent. Et même si certains SDF présents s’autoprolament druides de la forêt enchantée, ce n’est pas un hasard si cette forêt est plébiscitée par la mafia shalfienne pour la disparition des témoins gênants.

Une population accueillante

Il est de tradition que les habitants de l’île de Shalf soient toujours heureux d’accueillir de nouveaux venus. Cette tradition est quelque peu imposée avec l’instauration de la loi S-3884-9 qui oblige les habitants à avoir un tel comportement sous peine d’amende. Chaque shalfien est également tenu d’offrir son logement pour une durée indéterminée à tout voyageur étranger qui se présente chez lui.

Des villes d’exception

Véritable fleuron en matière de diversité urbaine et rurale, l’île de Shalf regroupe plus de 200 villes et villages tels que Rouglonniers et Furet-en-Chataîgne et où chacune de ces localités fait son possible pour vous inciter à y rester (de gré ou de force) pour vous faire profiter de tous ses bienfaits.

Un système éducatif unique

Outre le fait que 18% des enfants shalfiens savent à peine lire et écrire à la fin de leur cursus scolaire, le système éducatif shalfien offre pourtant bien des opportunités pour être un élément essentiel de la société shalfienne.

Des commerces plaisants

L’économie shalfienne est gérée par une communauté de commerçants à la fois soucieux du client (enfin surtout de son argent) mais aussi par la joie que procure leur travail. Ce bonheur atteint son paroxisme quand on sait que les commerçants ont l’obligation de reverser 89% de leur revenus aux services des impôts shalfiens.

Une religion particulière

L’île de Shalf ne tolère qu’une seule religion : le Druckerisme. Chaque shalfien (et même chaque visiteur de l’île) est tenu de vénérer les préceptes de cette religion qui, à défaut de soulager la vie des shalfiens, se permet de soulager leur porte-monnaie lors des messes obligatoires que doit suivre tout shalfien.

Infos pratiques

 

Superficie : 2 102 km2
Population : 13 890 habitants (3 486 690 selon la CTG)
Capitale : Shalfville
Monnaie : Shalfeuro (également appelé Euro, histoire de faire un peu comme les autres)
Hymne nationale : La shalfienne
Fête nationale : 9 mai
Gentilité : Shalfien, shalfienne
Devise : « Liberté, égalité, stupidité »
Régime politique : « particulier »

Président de l’île : Emmanuel Macaron
Premier Ministre : Gabriel Knightal
Présidente de la Semblée Nationale : Yann Bron-Pivert
Président du Senna : Gérard Garcher
Opposition politique : Inexistante, du moins officiellement

Chanteur officiel : Yves Dorteil
Religion dominante obligatoire : Le Druckerisme

Drapeau :

Réactions de visiteurs célèbres

 

« Quel pays merveilleux ! J’ai vraiment l’impression de rêver ! »
Céline DION

« Vraiment un lieu d’exemple pour la jeunesse. Je recommande ! »
Joey STARR

« Cette île, c’est vraiment honteux ! Mais je reconnais que le Maire de Shalfville est sympathique. »
Gilles VERDEZ

« Mes camarades et moi préférons quand-même Monaco. »
Sophie BINET

« Quel île de merde, je me casses ! Non, mais allez, laissez-moi passer ! »
Francis CABREL

« Je me sens enfin chez moi, ici… »
Patrick SEBASTIEN

« J’y serai bien allé. Dommage que je sois mort. »
Guillaume BATS

« J’ai adoré la gentillesse des infirmiers de l’asile psychiatrique Sandrine Rousseau. »
Frédéric FRANCOIS

« C’est con, j’ai raté la fête du lynchage de syndicaliste de Lerneuil. Ce sera pour l’an prochain… »
Philippe POUTOU

« Enfin un endroit où tous mes fantasmes les plus impensables ont pu être concrétisés ! »
Elie Semoun

« C’est magnifique. J’ai décidé d’y vivre définitivement. »
Stéphane BERN

« J’connais pas. C’est où, vous me dites ? »
Jean-Pierre FOUCAULT

Bibliothèque Franck Ribéry de Saint Linieuil

Eglise Druckeriste (Îlot des Punaises)

Comment devenir citoyen de l’Île de Shalf ?

 

Seuls les résidents nés sur l’île de Shalf ont droit au privilège d’en être citoyen (si tant est que l’on peut considérer cela comme un privilège). Hormis le statut d’esclave (de travail, sexuel ou les deux) exceptionnellement créé pour les naufragés ayant débarqué involontairement sur l’île, la seule façon de devenir citoyen de l’île sans attirer l’attention des services d’immigration ainsi que certaines milices les plus virulentes du « Regroupement National », le parti d’extrême droite de l’échiquier politique de l’île, est de participer aux tests d’aptitudes comprenant une vérification d’identité ainsi qu’une épreuve écrite. Cette épreuve comprends une série de questions d’une simplicité enfantine et à la portée de tous, même pour des militants syndicaux de base. Cette épreuve est personnellement suivie par Henri Tournel, le célèbre propriétaire du club de strip-tease « La gaufre fourrée ». Dans cette optique, M. Tournel dispense généralement de cette épreuve les personnes de sexe féminin de moins de 30 ans et dont les mensurations coïncident avec celles de ses employées. Selon M. Tournel, il est normal de faire l’immigration choisie par ce procédé.

Les recalés de l’épreuve sont alors immédiatement pris en charge par les services de l’immigration qui se chargera de procéder au largage des dits-recalés en haute mer, les pieds attachés à un parpaing. Cette procédure, défendue par le gouvernement comme « la méthode la plus humaine possible » est toutefois contestée par certaines organisations écologiques qui considère que ce type d’action à pour effet de suralimenter la faune aquatique. De plus, cette procédure ne peut être appliquée que dans un délai inférieur à 48 heures suivant les résultats de l’épreuve du candidat. Ce délai est rarement dépassé notamment grace à l’aide de la section « Deux hors les éttrangés », fondée par les militants du Regroupement National qui n’hésitent jamais à sacrifier leurs jours de congés pour aider les forces de l’ordre à exécuter ces basses besognes.

Crédits photos : Paul Fontamier, dit Paulo le cocu